Soumise d’une domina saphique 2

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Ce récit est la suite de : Soumise d’une domina saphique
il y a 5 mois

Laurie ne m’a pas lâchée et imposée de revenir chez elle le lendemain soir, sans me demander si j’étais libre. Pour elle s’était naturel que je me plie à ses exigences. Pourquoi y suis-je retournée ? Pourquoi me suis-je précipitée dans les griffes de cette louve ? Je ne sais pas ! Même si j’avais un peu honte, un peu peur, c’était plus fort que moi, elle m’attirait comme un aimant.

A peine arrivée, elle m’a aveuglée d’un simple bandeau en me disant de lui faire confiance, que je ne le regretterai pas. Laurie m’a guidée dans une pièce puis a retiré mon haut et mon soutien-gorge avant de poser des bracelets sur mes poignets. La gorge serrée, je me suis laissée faire avec une peur au ventre particulière, puisque mêlée de curiosité et d’envie. Quelques secondes plus tard, mes mains étaient fixées à quelque chose de solide au dessus de ma tête. Elle s’est collée contre mon dos pour embrasser mes épaules, ma nuque tout en caressant mes seins. Si je me sentais totalement vulnérable, ses attentions m’excitaient déjà.

Ses doigts se sont faits plus taquins avec mes tétons, ses dents aussi, Laurie me mordillait. Elle a dégrafé ma jupe, qu’elle a laissé glisser sur mes jambes puis, toujours collée contre moi, elle s’est mise à me griffer de partout doucement, juste assez pour que je sois couverte de frissons.

  • Ce soir, formation plaisir dans les douleurs érotiques, tu vas adorer ! M’a indiquée Laurie ce qui ne m’a pas rassurée du tout.

Quand ses mains ont tirées le devant de ma culotte, j’ai cru qu’elle allait me la retirer, me mettre nue. Ce n’était pas son but, elle voulait juste y insérer un magic wand massager pour qu’il reste coincé en bonne place sur mon clitoris. Je me suis bêtement dit « si c’est ça la douleur, cela ira ». Quelle gourde ! Elle a posé délicatement des pinces sur mes tétons avant de se lover à nouveau contre mon dos, pour recommencer le butinage pervers de mes épaules tout en caressant mes fesses, sûrement pour les prévenir de la suite, de ce qui les attendait.

Elle m’a abandonnée un instant aux sublimes vibrations, à mes songes de soumise débutante qui s’excite. Soudain, des lanières se sont abattues sur mes fesses et faite sursauter.

  • Ne bouge pas où le vibro ne sera plus en bonne place ! M’a ordonnée Laurie avant d’ajouter : « concentre-toi sur les sensations pour me faire une belle danse des fesses ».

Elle s’est placée de telle manière qu’elle pouvait jouer avec le vibro et me claquer les fesses avec son martinet. Les lanières piquaient un peu mais ce n’était pas désagréable. J’ai oublié ma pudeur en écartant les jambes pour qu’elle puisse mieux placer le magic wand massager. L’expression « danse des fesses » a trouvé tout son sens au bout d’un moment, je fuyais les lanières et, contre toute logique retournais à elles à la recherche des coups qui font des fourmis dans l’épiderme. Ses mouvements de reins me privaient de vibrations que je retrouvais en avançant. Mon derrière devenait aussi chaud que mon devant.

  • Allez, ose me demander d’aller plus fort ! M’a murmurée Laurie.

Contre toute logique aux yeux d’une personne qui ne l’a pas vécu, j’ai murmuré « encore, oui plus fort ». Oui cela faisait mal mais c’était si bon, que j’en redemandais. L’expression « la danse des fesses » prenait tout son sens, je tirai sur mes bras et mes entraves comme pour fuir tout en m’offrant aux lanières. Une vague de chaleur a envahi mon ventre et ma tête, cela m’a conduit à aller au devant du vibro. Laurie m’y a aidée en tapant de plus en plus fortement jusqu’à l’implosion finale des sens. Terrassée par un orgasme foudroyant, j’ai tellement tiré sur mes bras que j’ai décollé mes pieds du sol pendant mon « décollage ». Quelques instants plus tard je n’étais plus qu’une loque humaine, un pantin de chair suspendu comme un jambon.

Soutenue par les bras de Laurie, j’ai été délivrée et couchée à même le sol sur une couverture. Je me suis mise à pleurer, à trembler de partout, un peu comme si l’orgasme continuait. Elle me câlinait et me disait que j’étais trop belle à voir quand je prenais mon pied. Quand je suis revenue un peu plus sur terre au sens figuré du terme, elle a enjambé mon visage pour s’y asseoir. C’était mon premier contact avec le sexe d’une femme. Le message était clair, elle voulait que je la lèche, qu’à mon tour je m’occupe d’elle. J’ai timidement tendu la langue et découvert qu’elle était très excitée et attendait vraiment quelque chose de ma part.

Avec ce que je venais de vivre, il ne m’était pas possible de le lui refuser. Je l’ai donc léchée comme j’aime qu’on me le fasse, à priori cela devait être la bonne façon, du moins je le pensais jusqu’au moment où elle a retiré une des pinces toujours en place sur mes tétons. Ce retrait rapide m’a fait mal, il était accompagné d’un ordre clair destiné à ma bouche : « plus fort ». Sa main jouant avec l’autre pince à sein était claire, mais elle a été gentille et me l’a retirée plus doucement ce qui fut bien moins douloureux.

Petit à petit, je me perdais dans son chaton, je prenais plaisir à la lécher, à lui donner du plaisir. Le nez dans son temple de la fécondité fort mouillé, je pouvais sentir les vibrations d’une jouissance proche. Quand Laurie a joui, elle a ripé, ma bouche s’est retrouvée à laper sa chatte, mon nez entre ses fesses contre son anus qui, lui aussi se contractait. Ses doigts devenus des pinces tactiles sur mes tétons m’indiquait clairement de continuer à la lécher. Perdue et noyée dans son intimité en pleine jouissance, j’étais bien, je me sentais sa chose. En lâchant mes tétons, elle m’a indiquée d’arrêter, de ne plus bouger. Mon nez logé entre ses fesses me rapportait les battements de son coeur, c’était si troublant de sentir la vie ainsi que j’en oubliai ma « position » de siège et ma condition de soumission.

............

Petit à petit Laurie a pris le contrôle de ma sexualité, de mon corps puis à gérer ma vie en me laissant le strict minimum de liberté, comme mes finances, ma famille, mon emploi. Cela c’est fait naturellement, en douceur, le contrat était simple. Je voulais lui faire plaisir, lui plaire et elle voulait que je me sente libre de ma sexualité, de mes fantasmes tout en aimant mon corps.

Comme beaucoup de femmes, je me trouvais mal foutue, mon ventre s’arrondissant m’exaspérait, je trouvais mes seins trop petits, mes ..... Laurie soulignait souvent la « beauté » de mon corps dans certaines positions que l’on pourrait qualifier de gênante ou d’humiliantes. Elle n’arrétait pas de dire que j’étais belle dans le plaisir, dans la douleur, cela me rassurait et me faisait plaisir. Elle ne cherchait pas pour autant à me flatter, si ma tenue ne lui plaisait pas, ses remarques étaient cinglantes du type « qu’est-ce que t’es moche avec ce truc ».

Ma garde robe a rapidement changé, mes talons sont devenus plus haut, mes sous-vêtements plus sensuels, mes jupes plus courtes et cela même l’hiver. Pour que je n’ai pas froid, elle me faisait porter de jolis collants épais ou carrément en laine. Un de mes collants en laine a été découpé à l’entrejambe un soir où elle avait envie de jouer à mes dépens. Nous sommes donc sorties à pied un soir de grand froid mais je n’avais pas de culotte sous ma jupe. Si les collants protégeaient mes jambes, mon sexe lui prenait le frais. Régulièrement elle me faisait écarter les jambes et mettre les mains derrière ma nuque et claquer ma moune afin de la réchauffer avant de la tripoter pour me faire mouiller. Par moins cinq degrés, mouiller avec la chatte à l’air, cela ne s’oublie pas.

Le premier sextoy qu’elle m’a offert est une queue de chienne de chez ABCplaisir. C’était pour mon anniversaire. Pour s’amuser elle m’a fait faire la chienne toute la soirée en me faisant des compliments sur ma chute de rein. J’ai aussi du me frotter sans pudeur et jusqu’à l’orgasme contre son pied pendant qu’elle jouait avec mes tétons. Ce soir là, Laurie ma faite dormir par terre sur une couverture avec un collier de soumise attaché aux pieds du lit et des menottes bloquant mes mains dans mon dos. Pendant la nuit, elle a mis ses pieds sur moi pour me faire des caresses ciblées. Un de ses pieds « m’astiquait » la foune pendant que je devais lécher l’autre comme une bonne chienne. Elle a finit par craquer et me libérer pour me faire l’amour.

Même ma toilette était surveillée. La première fois que j’ai fermé la porte de la salle de bain, elle y est entrée comme une furie en me disant que si je me cachais c’était pour me tripoter. J’ai répondu que c’était simplement par pudeur. Elle a soigné ma pudeur à sa façon, en me lavant comme si j’étais une gamine ! Elle m’a faite ensuite m’allonger dans sa baignoire et a pris sa douche sur moi afin que je constate que l’on fait toutes pareille pour se laver. La seule chose qu’elle ne m’a dite qu’après, c’est qu’elle avait fait pipi sous la douche... Je n’avais rien vu, rien senti.

Si j’aime quand on fait l’amour tendrement, j’aime aussi beaucoup me sentir vulnérable, être entravée pour me sentir sa chose et de devoir subir ses lubies. Laurie le sait et m’accorde ces plaisirs là en « récompense » si j’ai été une « bonne soumise aimante ». Elle ne manque pas d’idées pour me pousser dans mes retranchements et jouer avec ma pudeur naturelle. Elle me fait coucher sur ses genoux comme pour me fesser mais au lieu de ça, elle prend ma température ou m’injecte un ou plusieurs lavements pour que j’ai « le cul propre pour faire honneur à ses godes ou plugs ».

Fessée comme une gamine je le suis aussi de temps en temps lorsque j’emploie un mot vulgaire par exemple. Elle trouve que cela fait moche dans ma si jolie bouche. A la maison, ou chez elle, cela ne me dérange pas, enfin plus même si cela fait parfois un peu mal. Là où c’est beaucoup plus difficile pour moi c’est en extérieur. Une fois elle s’est arrêtée sur une aire de repos pour m’en donner une sévère. Le routier s’est rincé l’oeil et a klaxonné à la fin en criant « encore, elle le mérite ». Le pire c’est que Laurie lui a donné raison et m’en a filé une seconde malgré mes suppliques de partir. Ça c’est du Laurie dans toute sa splendeur.

MES RECOMPENSES

Comme indiqué précédemment, Laurie sait que j’aime me sentir vulnérable grâce à des bondages ou de simples entraves. Quand elle m’attache, mon attente peut durer des heures, « plus c’est long, plus c’est bon » s’amuse t’elle à me dire quand elle passe près de moi en m’ignorant ensuite comme si j’étais un meuble. Le paradoxe de cette « méchante » c’est que bien souvent, après X heures, elle se jette sur moi pour me manger ou se faire manger en me disant que je suis trop belle, que ce serait un gâchis de ne pas profiter de la situation.

Par sécurité, elle s’est aussi renseignée sur les techniques de selfbondage pour que je puisse m’attacher seule comme cadeau quand elle arrive. Sa peur était que je m’attache puis qu’il lui arrive quelque chose et qu’elle ne puisse pas venir me libérer. Elle m’a donc offert pour Noël le Lot serrure magnétique avec programmateur pour selfbondage de chez ABCplaisir. Elle connaît bien le patron, qu’elle décrit comme un gentil sadique très pervers.

Il lui arrive de m’adresser des « textos » avec un cahier des charges de selfbondage. Je dois parfois m’attacher fesses offertes, comblées ou pas, sur une chaise dans l’entrée de mon appartement ou du sien. En se parlant toute seule devant ma porte, elle joue avec ma peur d’être aperçue dans une position gênante par un voisin. Quand c’est chez elle, c’est plus souvent debout dans son petit donjon où il y a un crochet au plafond. Dans ce cas, je dois parfois me mettre un cintre à pince sur les tétons pour qu’elle y accroche son blouson ou son redoutable sac à main qui est une valise ambulante.

Une fois, chez elle, je devais me bander les yeux avant de m’attacher nue mains au dessus de la tête. Lorsqu’elle est arrivée, j’ai de suite entendu au bruit des talons qu’elle n’était pas seule. J’étais blême, angoissée par l’idée d’être vue par quelqu’un d’autre. Elle m’a présentée à une amie que je n’ai pas vue et je devais dire « bonjour madame ». Ce fut horrible pour moi, je n’arrivais même pas à parler. Laurie a commencé à me claquer les fesses avec sa cravache, quand elle a vu les larmes couler sur mes joues, elle a remercié sa copine, s’est excusée du dérangement et la faite partir. Je n’ai pas été punie mais grandement consolée.

C’était une de ses ex, une lesbienne très connue, c’est pour cette raison que je devais avoir les yeux bandés. Je n’ai donc jamais su qui c’était, Laurie a refusé de me le dire.

Pour m’apprendre à être fière d’être ce que je suis, lesbienne et soumise, Laurie a décidé de nous offrir une semaine de vacances dans un lieu paradisiaque mais aussi fétichiste. Elle m’a assurée que personne ne se moquerait de moi, bien au contraire.

J’avoue que j’appréhende surtout qu’elle m’a indiquée que cela serait des vacances inoubliables en précisant, « surtout pour toi » !

A SUIVRE

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ce récit et magnifique , vivement la suite .
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